| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://aliounemarco.vip-blog.com


alioune
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

alioune

VIP-Blog de aliounemarco
aliounemarco@live.fr

  • 263 articles publiés
  • 132 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 07/02/2008 14:55
    Modifié : 20/05/2008 22:04

    Garçon (10 ans)
    Origine : menton
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ tecktonik ] [ dragoball ] [ image ] [ animaux ] [ speccial ami [e] ]

    camille

    31/03/2008 18:43

    camille


    lol

    Commentaire de camille (31/03/2008 18:45) :

    jtm fort mon pote trop sympa





    le merou

    31/03/2008 18:36



    Le terme de mérou désigne plusieurs espèces de poissons des mers chaudes, de même que plusieurs espèces différentes peuvent recevoir la même appellation vernaculaire. On trouve quelques espèces de mérous en Méditerranée.

    Le mérou brun, Epinephelus marginatus, est probablement le poisson le plus recherché et le plus médiatique de Méditerranée. Il peut vivre jusqu'à 200 mètres de profondeur. Les sites où ce poisson imposant et peu farouche a élu domicile sont particulièrement appréciés des plongeurs et des photographes. La qualité de sa chair en a fait une cible de choix des pêcheurs sous-marins. Il était autrefois très commun, mais le développement de la chasse sous-marine a fait des ravages dans l'espèce.

    Outre Epinephelus marginatus, huit autres espèces de mérou ont été recensées en Méditerranée : Epinephelus aeneus, Epinephelus caninus, Epinephelus coioides, Epinephelus costae, Epinephelus haifensis, Epinephelus malabaricus, Mycteroperca rubra et Polyprion americanus.

    Au Québec, le nom officiel est badèche gueule jaune.

    • Origine du nom : de l'espagnol mero
    • Nom scientifique (exemple) : Epinephelus Marginatus (pour le mérou brun). Classe Ostéichthyens, ordre Perciformes, famille Serranidés .
    • Description : ovale, massif, à petites écailles, pouvant atteindre 200 cm pour 100 kg.
    • Habitat : entre 20 et 200 mètres de profondeur, près du fond, dans les zones rocheuses accidentées.
    • Mode de vie : solitaire, sauf au moment du frai.
    • Alimentation : seiches, poulpes, calmars.
    • Reproduction : possède une glande hermaphrodite capable de produire des gamètes femelles, puis mâles. Comme la Girelle, le mérou peut changer de sexe, une fois au cours de sa vie lorsqu'il n'y a plus de mâle dominant: entre 5 et 12 ans le mérou est femelle, puis, jusqu'à la fin de sa vie (40 ans), il devient mâle. On parle d'un mode de reproduction Protérogynique.

    Sommaire

    [masquer]

    Espèces de mérou classées par nom scientifique [modifier]

    Mérou géant, ou mérou lancéolé (Epinephelus lanceolatus), photographié au Georgia Aquarium à Atlanta, Georgie (États-Unis)
    Mérou géant, ou mérou lancéolé (Epinephelus lanceolatus), photographié au Georgia Aquarium à Atlanta, Georgie (États-Unis)

    Espèces de mérou classées par nom vernaculaire [modifier]

    Mérou camouflage (Epinephelus polyphekadion)
    Mérou camouflage (Epinephelus polyphekadion)

    les dauphin

    31/03/2008 18:33



    Dauphin

    Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

     
    Pour les articles homonymes, voir Dauphin (homonymie).
    Nom vernaculaire ou
    nom normalisé ambigu :

    le terme « Dauphin  » désigne, en français,
    plusieurs taxons distincts.
    Dauphin
    Un grand dauphin (tursiops truncatus)
    Un grand dauphin
    (tursiops truncatus)
    Taxons concernés

    Plusieurs espèces parmi les :

    Et parmi des familles disputées

    Les dauphins [do.'fɛ̃ ] sont des mammifères marins et fluviaux appartenant à l'ordre des cétacés. Le terme dauphin dérive probablement du grec ancien δελφίς / delphís,[1] « esprit de la mer », peut-être lui même issu de δελφὐς / delphús, « utérus ».

    Le dauphin désigne en français les cétacés à dents (odontocètes) de moins de cinq mètres généralement dotés d'un rostre long :

    1. L'espèce la plus commune et familière de dauphins, que l'on trouve en majorité dans les delphinariums, est le grand dauphin (Tursiops truncatus).
    2. De nombreuses espèces de la famille des Delphinidés qui inclut aussi les orques.
    3. Les Delphinoïdes et les dauphins d'eau douce vivant dans les fleuves d'Asie ou d'Amérique du Sud dont la sous la famille des platanistoïdes.

    D'autres animaux marins sont parfois appelés incorrectement « dauphins » comme des cétacés au rostre court ou à peine existant tels que le narval et le béluga, deux animaux plus grands que les dauphins classiques, ainsi que les marsouins qui sont eux beaucoup plus petits.

    On prête souvent au dauphin un caractère social, mais certaines espèces sont solitaires. Ces animaux sont populaires car certaines de ces espèces se laissent approcher par l'homme et se montrent affectueuses. Certains dauphins sont connus pour avoir sauvé des hommes.

    Sommaire

    [masquer]

    Le dauphin dans la culture populaire [modifier]

    • Déjà dans l'Antiquité les peuples marins leurs prêtaient de multiples exploits comme de guider les bateaux égarés dans la tempête ou de sauver les naufragés... Ils sont d'ailleurs très souvent cités dans la littérature grecque et étaient l'emblème de la ville de Corinthe (Grèce).
    • Flipper, héros d'une série télévisée de 1964, rôle tenu en fait par plusieurs dauphins.
    • Oum le dauphin blanc, animation télévisée française en 13 épisodes, diffusée pour la première fois en 1971.
    • Joséphine dans le film de Luc Besson, le Grand Bleu.
    • Ecco the Dolphin, vedette dans des jeux développés par Sega sortis sur Megadrive et la Dreamcast.
    • Fungie, dauphin mascotte de la ville de Dingle en Irlande.
    • Le dauphin a été évoqué de manière saugrenue dans une interview de Patrick Bruel où il raconte comment sa femme et lui ont appris qu'ils allaient devenir parents. « Ce sont les dauphins qui nous l'ont appris. Les dauphins n'approchent pas des femmes enceintes, et quand elle a vu que les dauphins tournaient autour d'elle sans l'approcher, elle s'est demandée ce qu'il se passait. Moi, je le savais, je lui ai dit que c'était un bon signe! »[citation nécessaire]
    • Flocon de neige dans le film Ace Ventura, détective pour chiens et chats.
    • Stefania dans la série documentaire L'odyssée bleue.
    • Les dauphins dans le livre Un animal doué de raison.
    • Les néo-dauphins dans le roman Marée stellaire.
    • Momo le dauphin, mascotte des sixièmes Jeux des îles de l'océan Indien organisés à Maurice en 2003.
    • Les dauphins communiquent parfois avec les hommes, dans le livre de Eric Demay, "L'homme qui parlait aux dauphins".
    • Dolphy, dauphin femelle fréquentait le port de Collioure entre 1992 et 1995.





    tortue

    31/03/2008 18:28



    Menu

     

    Ce site est créé dans le but de présenter une partie des tortues que l'on retrouve sur notre planète. Cet animal très sauvage n'est malheureusement pas assez connu du grand public.

    C'est à partir des informations contenues dans les fiches des espèces que vous découvrirez les tortues et le mode de vie de chacune d'elles.Vous participerez donc à leur sauvegarde par la même occasion.

    L'équipe de www.cheloniophilie.com, vous souhaite une agréable visite sur le site des passionnés.
    < name="google_ads_frame" marginwidth="0" marginheight="0" src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/ads?client=ca-pub-3297172229739976&dt=1206981021531&lmt=1206981021&prev_fmts=468x60_as&format=468x60_as&output=html&correlator=1206981021500&channel=4106826965%2B2587272426%2B8236585356%2B5627721919%2B7339699501&pv_ch=4106826965%2B2587272426%2B8236585356%2B5627721919%2B7339699501%2B&url=http%3A%2F%2Fwww.cheloniophilie.com%2F&color_bg=D5EDB3&color_text=FFFFFF&color_link=000000&color_url=FFFFFF&color_border=FFFFFF&ad_type=text&ref=http%3A%2F%2Fwww.google.fr%2Fsearch%3Fhl%3Dfr%26rlz%3D1T4GZFA_frFR266FR267%26q%3Dtortue%26revid%3D584493710%26sa%3DX%26oi%3Drevisions_inline%26resnum%3D0%26ct%3Drevision%26cd%3D1&frm=0&cc=100&ga_vid=804680700.1206981022&ga_sid=1206981022&ga_hid=1728393385&flash=9.0.115.0&u_h=768&u_w=1024&u_ah=738&u_aw=1024&u_cd=32&u_tz=120&u_his=3&u_java=true" frameborder="0" width="468" scrolling="no" height="60" allowtransparency="allowtransparency">






    l otarie

    31/03/2008 18:20



    Otarie à fourrure
    du Nord
    Otarie à fourrure du Nord, mâle
    Otarie à fourrure du Nord, mâle
    Classification classique
    Règne Animalia
    Embranchement Chordata
    Sous-embr. Vertebrata
    Classe Mammalia
    Sous-classe Theria
    Infraclasse Eutheria
    Ordre Carnivora
    Sous-ordre Caniformia
    Famille Otariidae
    Genre Callorhinus
    Genre
    Callorhinus
    Gray, 1859
    Nom binominal
    Callorhinus ursinus
    Linnaeus, 1758
    Répartition géographique

         /    colonie de reproduction
         /    individus isolés

    Statut de conservation IUCN :


    VU A1b : Vulnérable

    Retrouvez ce taxon sur Wikispecies

    D'autres documents multimédia
    sont disponibles sur Commons
    Parcourez la biologie sur Wikipédia :

    L’otarie à fourrure du Nord (Callorhinus ursinus), ou ours de mer, est la seule espèce du genre Callorhinus, de la famille des Otariidae (les otaries). Callorhinus est emprunté au grec et signifie « belle peau ».

    Noms vernaculaires alternatifs : otarie à fourrure septentrionale, otarie d’Alaska, otarie de Pribilof.

    Sommaire

    [masquer]

    Description [modifier]

    L'otarie à fourrure du Nord se distingue par sa petite tête à museau court et ses nageoires postérieures, les plus grandes de toutes les espèces d'otaries.

    Les mâles sont beaucoup plus grands (2 m, 270 kg) que les femelles (1,5 m, 60 kg) ; les mâles se caractérisent aussi par leur pelage foncé (noir ou brun foncé) et leurs longues moustaches, alors que le pelage des femelles est clair (gris ou marron clair).

    Les mâles vivent 20 ans, et les femelles 25.

    Les otaries se nourrissent de poissons (harengs, en particulier) et de calmars, qu'ils chassent en solitaire dans les eaux froides. La consommation quotidienne d'une otarie L’otarie à fourrure du Nord (Callorhinus ursinus), ou ours de mer, est la seule espèce du genre Callorhinus, de la famille des Otariidae (les otaries). Callorhinus est emprunté au grec et signifie « belle peau ».

    Noms vernaculaires alternatifs : otarie à fourrure septentrionale, otarie d’Alaska, otarie de Pribilof.

    Sommaire

    [masquer]

    Description [modifier]

    L'otarie à fourrure du Nord se distingue par sa petite tête à museau court et ses nageoires postérieures, les plus grandes de toutes les espèces d'otaries.

    Les mâles sont beaucoup plus grands (2 m, 270 kg) que les femelles (1,5 m, 60 kg) ; les mâles se caractérisent aussi par leur pelage foncé (noir ou brun foncé) et leurs longues moustaches, alors que le pelage des femelles est clair (gris ou marron clair).

    Les mâles vivent 20 ans, et les femelles 25.

    Les otaries se nourrissent de poissons (harengs, en particulier) et de calmars, qu'ils chassent en solitaire dans les eaux froides. La consommation quotidienne d'une otarie représente environ 10 % du poids de l'animal.

    Chaque mois de mai, les otaries se rassemblent en masse dans quelques rookeries[1]. Les femelles se reproduisent à l'âge de 3 ans, mais les mâles, sexuellement matures à l'âge de 4 ou 5 ans, ne s'accouplent pas avant 9 ans.

    Les mâles, polygames, doivent en effet établir leur territoire et le défendre des dizaines de fois contre d'autres prétendants, ce qui donne lieu à des duels souvent sanglants, parfois mortels. Ainsi, le « propriétaire » du territoire ne peut s'absenter pour se nourrir pendant plusieurs mois, et vit sur ses réserves : lorsqu'il retourne à l'eau, il a parfois perdu près d'un tiers de son poids.

    Les célibataires se regroupent sur des « terrains de jeux », où ils s'entraînent à de tels combats.

    Otarie à fourrure du Nord : mâle avec son harem et les nouveau-nés
    Otarie à fourrure du Nord : mâle avec son harem et les nouveau-nés

    Les femelles arrivent pleines, et choisissent un emplacement parmi les territoires délimités par les mâles où elles constituent des harems de dix à vingt femelles pour la plupart. La naissance d'un unique petit intervient peu de temps après l'arrivée d'une femelle. Cette dernière est fécondée cinq à six jours après.

    Les femelles possèdent un double utérus, et c'est ce qui permet une durée de gestation de presque un an, bien supérieure à celle des autres mammifères (environ 9 mois).

    Les jeunes sont sevrés en octobre. À la fin de novembre, ils migrent vers le sud avec leurs congénères.

    Aire géographique [modifier]

    L'otarie à fourrure du Nord se rencontre au nord de l'océan Pacifique - la limite méridionale correspond approximativement à une ligne allant de l'extrémité sud du Japon à l'extrémité sud de la péninsule de Basse-Californie -, dans la mer d'Okhotsk et dans la mer de Béring.

    Sa population est estimée à environ 1 800 000 individus, dont plus qu'une moitié se reproduisent aux îles Pribilof en mer de Béring. Les autres zones de reproduction importantes sont les îles du Commandeur (mer de Béring), l'île Robbe (mer d'Okhotsk), les îles Kouriles, et l'île San Miguel (Californie).

    Chasse [modifier]

    L'otarie à fourrure a constitué la nourriture principale des indigènes (Inuit) des côtes de Sibérie et d'Alaska pendant des milliers d'années. Elle fournit également une fourrure de qualité.

    Gerasim Pribilof explora en 1786 l'archipel qui porte maintenant son nom et découvrit les immenses rookeries de l'otarie à fourrure. Dès 1796, le commissaire russe déplaça des indigènes aléoutes pour tuer et dépouiller les animaux en grand nombre. Ceux-ci étaient rassemblés dans des champs d'abattage, puis tués à coups de bâton (dans le meilleur des cas, l'animal succombe rapidement à un seul coup bien ajusté sur le crâne).

    En 1820, un nouveau commissaire russe édicta les premières mesures de protection : ne plus tuer les femelles ; épargner une certaine proportion de jeunes mâles.

    En 1867, les îles Pribilof devinrent possession américaine avec l'Alaska pour 7 200 000 dollars ; les agents du gouvernement américain estimèrent alors le troupeau d'otaries à 2 500 000 d'animaux. La cupidité l'emportant, les règles de protection de l'espèce furent abandonnées ; de plus, des pirates entreprenaient des raids sur le rivage des îles. Les otaries étaient aussi intensivement chassées en mer au harpon.

    En 1892, quand l'effectif des otaries devint inférieur à un million d'individu, les autorités commencèrent à se préoccuper de la baisse des revenus de l'abattage. Un accord fut signé à Paris en 1893 pour interdire la chasse en mer dans un rayon de 60 milles marins autour des Pribilof, ainsi que dans la mer de Béring du 1er mai du 31 juillet.

    Bien que les États-Unis armèrent des cannonières pour faire respecter l'accord, la tuerie continua, et en 1910, il ne restait plus que 160 000 otaries aux îles Pribilof. Des écrivains, dont Jack London et Rudyard Kipling, réussirent à émouvoir l'opinion publique, et en juillet 1911, fut signé à Washington le Traité pour la préservation des otaries à fourrure, entre la Grande-Bretagne, le Canada, les États-Unis, la Russie et le Japon ; cet accord interdisait totalement la chasse en mer en échange d'un pourcentage sur l'abattage des otaries.

    Cette exploitation commerciale a cessé depuis 1984 ; actuellement, environ 1500 individus sont prélevés annuellement par la population indigène pour leur nourriture. Alors que la pêche pélagique détruirait à elle seule plusieurs milliers d'otaries par an.

    Liens externes [modifier]

    Note [modifier]






    charades

    27/03/2008 17:49



    charades

     

     

    Mon premier est un bone english
    Mon second est moqué du monde
    Mon troisième est la fin d'un opera de Verdi
    Mon tout est un plat délicieux

     

     

    Mon premier fait le délice des femmes
    Mon second a un âge avancé
    Mon troisième est un dimintif de prénom
    Mon tout jure en vlaams!

     

     

     

     

     

    Mon premier existe
    Mon deuxième est méchant
    Mon troisième est franc et direct
    Et mon tout est un pays voisin de la Belgique

     

     

    mon premier est le composant du squelette,
    les anglais raffolent de mon second et utilisent mon troisème pour le préparer
    mon quatrième est au chien ce que les jambes sont au cheval,
    mon tout est un professionnel utile aux cavaliers comme aux chevaux!

     

     

    mon premier est un fruit croquant et juteux apprécié des chevaux,
    mon second se mange et sort de la poule,
    mon troisème sort de la vache (mais pas par le meme endroit lol),
    mon tout est une variante de gris pour la robe d'un cheval!

     

     

    à la fac' les étudiants ont cours dans mon premier,
    mon second atteinte en forme de fente sur le sabot,
    mon troisième est une vetement d'hiver en laine,
    mon quatrième est un pronom possessif,
    chevaux et cavaliers respirent mon cinquième,
    mon tout est une maladie des chevaux et un vice rédibitoire!

     

    Mon premier sert à tenir la voile d'un bateau.
    Mon deuxième est le contraire de oui . Mon tout est un prénom féminin.

     

    Mon premier est la 7e lettre de l'alphabet.
    Mon deuxième est la capitale de l'Italie Mon tout est un prénom masculin

     

     

     

    Mon premier est l'abréviation de cela.
    Mon deuxième est l'indicatif présent du verbe "peindre" à la 1er ps

    On décore mon tout pour Noël

     

     

    Mon premier porte une couronne
    Mon deuxième sert à tenir les voiles d'un bateau
    Mon troisième est la fin du mot "image"

    Mon tout s'est mis en route le 25/12 pour apporter des cadeaux à l'enfant Jésus.

     

     

    Mon premier est la 11ème lettre de l'alphabet
    Mon deuxième est un poisson plat qui vit dans la mer
    Mon troisième est la deuxième partie du mot "cruche"

    Le petit Jésus est né dans mon tout.

     

    On trouve mon 1er dans le bain.

    Mon 2e est avant Tac

    Mon tout pique

     

     

    Mon 1er est un animal domestique.

    Mon 2è est un animal qui vit dans les égouts

    Mon 3è est le double de 1.

    Tu viens de faire mon tout!!!!

     

     

    Mon 1er est le contraire de dur.

    MON 2éme est le contraire de tôt.

    Mon 3ème est le quart de huit.

    Mon tout pique. Qui suis-je?

     

     

    Mon 1er est la première note de la gamme
    On a mon 2ème quand on n'a pas assez mangé

    Mon tout vit dans la mer

     

     

    mon premier est une planète

    mon second est la 22éme lettre de l'alphabet
    mon troisième est la partie de la vache que l’on trait pour avoir du lait.
    mon quatrième sont les deux dernières syllabes du mot "salami"

    mon tout est un personnage de B.D.

    .

     

     

    Mon 1er est le verbe sortir à la 1er personne du singulier de l'indicatif présent

    Mon 2eme sert à couper

    Mon 3eme est la 18ème lettre de l'alphabet.

    Et mon tout? C'est un être que l'on trouve dans les livres et qui apprécie tout particulièrement la fête d'Halloween.

     

     

    Mon 1er est une partie du visage grâce à laquelle on peut parler ou manger.
    Mon deuxième est le verbe "rire" à la 1ere personne du singulier du présent de l'indicatif
    Mon tout est un magasin.

     


    Mon 1er est synonyme de "morceau"
    Mon 2ème est le verbe "fumer" à la 3eme personne du singulier du présent de l'indicatif
    Mon 3eme se mange avec des baguettes chez les Chinois
    Mon tout est un magasin.

     

     

    Mon 1er est le petit de la biche

    Mon 2e est un récipient dans lequel on boit du café, du thé...

    Mon 3e est un insecte qui se plante dans notre peau

    Mon tout est un adjectif qui veut dire merveilleux, super...

     

     

    Mon premier sert à transporter de l'eau.

    Mon deuxième est ce dans quoi les plantes poussent.

    Mon troisième est ce que tous les insectes ont 2 ou 4 fois.

    Mon tout est un insecte qui saute 20 fois sa longueur

    Réponse: la sauterelle (saut - terre - aile)

    Mon premier est un abruti qui fait de la musique avec une seule note en période de guerre. D'ailleurs il l'a perdue.
    Mon second se marre.
    Mon troisième a corrigé un spectacle culte.
    Mon quatrième nous a débarrassé des rongeurs infectieux.

    Mon tout, comme mon premier, fit la guerre dans les Amériques

     

     

    Mon premier est un oiseau parfois bavard, qu'on dit voleur.
    Mon deuxième
    coupe du bois.
    Mon troisième
    aide à dire non.
    Mon tout
    est rempli d'eau, mais pas de poissons.

     

    Mon premier est la deuxième note de la gamme.
    Mon deuxième
    sert pour écrire au tableau.
    Mon troisième
    est la première lettre de l'alphabet.
    En faisant mon quatrième nous risquons de nous couper les doigts.
    Mon tout
    est attendu avec impatience par les enfants à l'école.

     

     

    Mon premier est un félin.
    Mon deuxième
    permet de voir plus grand.
    Mon tout
    va sur l'eau

     

     

    Mon premier est une note de musique.
    Mon deuxième
    est un arbre.
    Mon tout
    est un animal.

     

    Mon premier est un grand cri de victoire.
    Mon deuxième
    se porte en hiver.
    Mon tout
    est dévastateur.

     

     

    Mon premier est un garçon.
    La vache fait mon deuxième.
    Mon tout
    est un ensemble de notes.

     

     

    Mon premier coupe le bois.
    Mon deuxième
    est une partie du visage.
    Mon troisième
    porte les voiles d'un bateau.
    Mon tout
    a été muet puis est devenu parlant

      

     

    Mon premier est une partie du corps.
    Mon deuxième
    est un fleuve français.
    Mon tout
    voit passer beaucoup d'enfants.

     

     

     

     

    .

    .

    Mon premier est un oiseau que l'on dit voleur.
    Mon deuxième
    est un animal à longues oreilles.
    Mon troisième
    mouille.
    Mon tout
    est un instrument de musique.

     

     

     

    Mon premier voit s'arrêter les trains.
    On fait mon deuxième avec une corde.
    Mon troisième
    ne dit pas la vérité.
    Mon tout
    est un enfant espiègle.

     

    Quand mon petit frère fait pipi dans mon premier, maman n'est pas contente du tout.
    Quand mon petit frère fait pipi dans mon second, maman est très contente.
    Mon tout
    a des couleurs et représente un pays.
    a des couleurs et représente un pays.

    a des couleurs et représente un pays.

     

     

    Mon premier est un animal qui porte des bois.
    Mon deuxième
    est un animal qui fait la roue.
    Mon tout
    est un reptile.

     

     

     

    Mon premier est un bruit qui accompagne un coup de feu.
    Mon deuxième
    est parfois en sable, parfois en charbon.
    Mon troisième
    est le contraire de court.
    Mon tout
    est porté par les garçons.

     

    Mon premier sert à transporter l'eau.
    On dort dans mon deuxième.
    Mon troisième
    est un nombre.
    Mon tout est le contraire de liquide.

    Mon premier est l'endroit favori des canards.
    Mon deuxième
    est le contraire de tard.
    Mon tout
    enfonce le clou.


     

    Mon premier souffle.
    Mon deuxième
    est le contraire de tôt.
    Mon tout
    est prétentieux.

     

     

    Mon premier a six face.
    On dort dans mon deuxième.
    Mon troisième est le pluriel de
    ciel.
    Mon tout
    signifie très bon.

     

     

    Mon premier est une note de musique.
    On se nourrit de mon deuxième.
    Mon troisième
    attache.
    Mon tout
    est indispensable pour faire du pain.

     

     

     

    Mon premier habite dans les cheveux.
    Mon deuxième
    n'est pas beau.
    Mon tout
    est un poussin qui a grandi.

     

    Mon premier a dévoré le petit chaperon rouge .
    Mon deuxième
    se réalise parfois.
    Mon troisième
    se passe le matin.
    Mon tout
    est le petit de mon premier.






    charade

    27/03/2008 17:11



    Charades sur la mer

    Mon premier est une note de musique.

    Mon second est à l’opposé du début.

    Mon tout est un animal marin.

    ……………………………………………………

     

    Mon premier est une pièce de vaisselle plus grande que l’assiette, sur laquelle on sert les mets.

    Mon second est la première personne du singulier.

    Mon tout est une étendue de sable ou de galets.

    …………………………..........

     

    Mon premier est un déterminant possessif.

    Mon second est une note de musique.

    Mon tout est un mouvement du niveau de la mer.

    ………………………………………………..

     

    Mon premier est un organe humain qui permet de parler.

    Mon second est un déterminant.

    Mon tout est un assemblage de pièces de toile ou d’autres tissus.

    …………………………………………………

     

    Mon premier est le contraire de dur.

    Mon second est le verbe être conjugué à la deuxième personne du pluriel de l’indicatif présent.

    Mon tout est un oiseau.

    ……………………………………………….

     

    Mon premier est une graine.

    Mon second est un déterminant possessif.

    Mon tout est un animal.

    ……………………………………………

     

    Mon premier est une partie du corps humain.

    Mon second est quelque chose que l’on doit payer.

    Mon tout est un moyen de locomotion amusant.

    ……………………………………………






    le moustique tigre

    27/03/2008 07:25



    NICE Moustique tigre et Chikungunya

    ../FR/images/edito/moustique-tigre.jpg
    (Nice Rendez-Vous) | SOCIETE | MOUSTIQUE CHIKUNGUNYA | Voilà un exemple de message que nous recevons ces temps-ci sur notre site : « en tuant des moustiques avec les mains, j'ai eu la surprise d'avoir écrasé à plusieurs reprises ( 4 ou 5 fois ) un moustique qui n'était pas comme les autres et qui correspond tout à fait à l'image que je viens d'apercevoir sur votre site : le moustique chikungunya qui correspond totalement à la description de votre article ».

    C’est bien la preuve qu’à la faveur des pluies, les moustiques se sont mis à pulluler dans certains quartiers de Nice mais aussi que tous les moustiques ne sont pas des Aedes albopictus (le «Tigré» de son nom commun, car il est joliment zébré noir et blanc) et que la confusion existe dans le public entre le moustique tigre et le virus du chikungunya.

    Heureusement, si le moustique tigre semble bien parti pour coloniser la Côte d’Azur, le virus du chikungunya est absent de notre région.

    L'insecte ne naît pas avec le virus, il le contracte en piquant un humain malade.
    Le Chikungunya est une maladie virale qui provoque des diarrhées, des vomissements, des fortes fièvres, de violents maux de tête, des éruptions cutanées et des douleurs musculaires et articulaires particulièrement invalidantes et pénibles. On ne connaît pas de cas localement.

    Donc pour le moment pas de danger.

    Il n’empêche que la prudence voudrait que chacun s’attache à faire disparaître les lieux propices à l’installation de gîtes larvaires ou à les traiter avec un larvicide biologique.
    Le «Tigré» est «urbain» et diurne, il pique en début ou en fin de journée, ce qui le distingue de ses congénères plutôt nocturnes, et sa piqûre est douloureuse. Assez casanier, il reste dans les parages de l’endroit où il s’est installé. Coupelle de pot de fleurs, seaux, conteneur, jouets d’enfant, tout récipient resté dehors dans lequel stagne un peu d’eau est propice à son installation et peut devenir un gîte larvaire.
    Si communautairement nous réussissions à veiller à la disparition de ces lieux propices à la reproduction du moustique tigre nous pourrions limiter son expansion et éviter une grande opération de démoustication qui n’a pas que des avantages selon certains farouches opposants.





    ragondin

    27/03/2008 07:20



     

    « Le ragondin

    Bibliographie

    ondin, biologie et méthodes de limitation des populations », publié sous la direction de Pierre Jouventin, éditions Acta, 149 rue de Bercy, Paris, 1996.
    « RAGONDIN, RAT MUSQUÉ STOP AU POISON! Les alternatives à l’utilisation des anticoagulants en milieu naturel », France Nature Environnement, 2006.

     

     

     

     

    Qui est le ragondin ?

     

    Le ragondin est un mammifère de l’ordre des rongeurs. De grande taille (70 centimètres à un mètre, six kilos), il a le corps recouvert d’une épaisse fourrure imperméable et terminé par une queue cylindrique écailleuse. Ses pattes postérieures palmées, ses narines obturables placées, comme ses yeux, très haut sur la tête, en font un animal amphibie parfaitement adapté à la vie aquatique. On le trouve dans les zones d’eau douce et calme, les marais, étangs et canaux bordés de végétation. Dans les berges, il creuse des terriers de quelques mètres de profondeur, avec plusieurs entrées dont l’une est immergée.
    Le ragondin a un régime herbivore, constitué de feuilles te de tiges de végétaux aquatiques ou terrestres, de racines et d’écorces de jeunes arbres. A l’occasion, il ne dédaigne pas de consommer du blé, du maïs ou des carottes.
    La femelle a deux ou trois portées par an, de cinq petits en moyenne. Les jeunes atteignent leur maturité sexuelle vers six mois. Dans la nature, un ragondin peut vivre quatre ou cinq années.

     

     

    D’où vient le ragondin ?

    Le ragondin est originaire d’Amérique du Sud. Il a été introduit en France au XIXème siècle pour la pelleterie. Dans les années 1930, sa fourrure est passée de mode et, l’élevage n’étant plus rentable, les animaux ont été relâchés dans la nature où ils se sont rapidement acclimatés. Aujourd’hui, le ragondin est présent sur tout le territoire national, sauf en altitude. Ses prédateurs naturels (caïman, jaguar) sont absents mais le renard, le putois, la loutre et certains rapaces exercent une prédation significative sur les jeunes ragondins. Hors de l’eau, le ragondin peut résister à des températures très basses, mais les périodes de gel prolongé en hiver, lorsque les cours d’eau sont pris en glace, peuvent porter un coup sévère aux populations.

     

    Quels problèmes peut-il poser ?

    Le ragondin peut causer des dégâts aux plants de céréales ou aux cultures maraîchères situées à proximité des cours d’eau. En période de gel, lorsque les herbes aquatiques sont hors d’atteinte, il peut occasionner par écorçage des dégâts dans les peupleraies. On lui reproche également d’être porteur de maladies transmissibles aux animaux domestiques et à l’homme, comme la leptospirose et la douve du foie. Mais son principal impact touche les ouvrages hydrauliques : en creusant ses terriers dans les berges des canaux et les digues, il les endommage et les plus minées peuvent céder lors des crues.

     

    Comment « vivre avec le ragondin » ?

    En France, le ragondin est installé sur la quasi-totalité du territoire et il n’est plus possible de l’éradiquer : il fait désormais partie de notre faune. Divers moyens de prévention permettent d’éviter ou de limiter les nuisances provoquées par le ragondin. Ils sont détaillés dans la brochure « Ragondin, rat musqué : stop au poison ! » éditée par France Nature Environnement (téléchargeable sur http://www.fne.asso.fr/GP/publications/alternatives_poison.pdf).

    Le ragondin est inféodé aux alentours des rives, si bien que les dégâts aux cultures sont généralement de faible superficie et localisés sur une bande de vingt mètres de large de part et d’autre des cours d’eau. Les cultures peuvent être protégées simplement en évitant de les implanter à proximité des cours d’eau et en privilégiant au bord de l’eau une frange de végétation naturelle.
    La meilleure protection des berges contre le creusement des terriers est la végétation ligneuse, car le système racinaire des arbres stabilise et fixe la terre. Le ragondin faisant ses terriers avec une entrée sous l’eau ou à proximité immédiate, un bon moyen de préserver les digues est d’en éloigner la base à une distance de deux mètres de l’eau, voire davantage si les terriers sont plus profonds.
    La prévention de la leptospirose passe par l’hygiène individuelle et l’information des personnes exposées au risque (professionnels, piégeurs, chasseurs et pêcheurs en eau douce) sur les règles à respecter : porter des gants et des bottes, éviter de manipuler l’eau à mains nues, se laver systématiquement les mains. La baignade en eau douce doit se pratiquer dans des lieux de baignade reconnus où l’eau est fréquemment contrôlée.

    La destruction du ragondin est possible mais coûteuse. Elle ne se justifie que lorsque les fortes densités de population provoquent localement des dégâts importants. Les principales méthodes de destruction sont le tir et le piégeage. Le tir (à l’arme à feu ou à l’arc) se pratique dans le cadre de l’exercice de la chasse ordinaire, des chasses et battues administratives ou lors de la destruction par les particuliers. Le piégeage doit privilégier la cage-piège, qui ne risque pas d’occasionner la destruction d’espèces non cibles, et respecter des règles concernant la déclaration préalable en mairie, la pose du piège et l’élimination sans souffrance des animaux capturés. Le piégeage est plus efficace lorsque l’action est coordonnée entre plusieurs communes pour couvrir une zone humide délimitée, ou mieux, un bassin versant. Enfin, la destruction par le poison n’est plus autorisée que par dérogation dans quelques départements, et disparaîtra totalement en 2009. Cette méthode ne sélectionne pas les victimes et a déjà entraîné la mort de nombreux animaux d’autres espèces, sauvages ou domestiques.

    FPRIVATE "TYPE=PICT;ALT="

     

     






    lapin

    16/03/2008 20:42

    lapin




    Commentaire de anne-so62 (24/03/2008 20:02) :

    slt merci de m'avoir mis des com !! je trouve que ma lapine et trop belle !!


    Commentaire de camille (28/03/2008 14:05) :

    trop belle c la tienne





    Début | Page précédente | 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact aliounemarco ]

    © VIP Blog - Signaler un abus