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Catégorie : animaux

alioune
VIP-Blog de aliounemarco
aliounemarco@live.fr

  • 15 articles publiés dans cette catégorie
  • 132 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 07/02/2008 14:55
    Modifié : 20/05/2008 22:04

    Garçon (10 ans)
    Origine : menton
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    aller om

    10/04/2008 15:08

    aller  om




    Commentaire de ophélie (14/05/2008 10:38) :

    wééé allé lom!!!

    http://vive-daron_2.vip-blog.com/




    face a face

    10/04/2008 14:49

    face  a  face







    mon youssou

    10/04/2008 14:48

    mon  youssou


    domage  mes    j arrive  pas  mettre  la  video




    cachalot

    31/03/2008 18:51



    (Redirigé depuis Physeter catodon)
    Pour les articles homonymes, voir Cachalot (homonymie).
    Wikipédia:Lecture d'une taxobox
    Comment lire une taxobox
    Grand cachalot
    Cachalot (Physeter macrocephalus)
    Cachalot (Physeter macrocephalus)
    Classification classique
    Règne Animalia
    Embranchement Chordata
    Sous-embr. Vertebrata
    Classe Mammalia
    Sous-classe Theria
    Superordre Eutheria
    Ordre Cetacea
    Sous-ordre Odontoceti
    Famille Physeteridae
    Genre
    Physeter
    Linnaeus, 1758
    Nom binominal
    Physeter catodon
    Linnaeus, 1758
    Synonymes
    • Physeter macrocephalus
    Répartition géographique
    Statut de conservation IUCN :


    VU A1bd : Vulnérable

    Retrouvez ce taxon sur Wikispecies

    D'autres documents multimédia
    sont disponibles sur Commons
    Parcourez la biologie sur Wikipédia :

    Le grand cachalot, du portugais du XVIIe siècle cachalotte : « grosse tête », (Physeter catodon), est le plus grand des odontocètes (cétacés à dents).

    Sommaire

    [masquer]

    Étymologie [modifier]

    Le mot, emprunté au portugais cachalotte au XVIIe siècle[1], désignant le même animal, n'a pas une origine claire. Il semble provenir du portugais cachola[2],[3], terme de langue orale désignant la tête. Le terme est aussi donné comme provenant du gascon cachau[4], au sens de « grandes dents » ou encore au catalan quitxalot[5]. De cachalot, qui a lâché dans l'eau !

    Description [modifier]

    Le cachalot se distingue par une énorme tête quasiment parallélépipédique, la présence de dents pointues et des narines soudées en un unique évent. L'adulte mesure de 11 à 20 m et pèse 20 à 57 tonnes, les plus grands spécimens étant mâles.

    Le corps est gris foncé ou noir avec quelques taches sur le ventre. Il peut comporter des marques rectilignes et de nombreuses cicatrices, dues aux combats entre les mâles ou avec des calmars géants. Le cachalot peut plonger jusqu'à 3000 mètres de profondeur pour chasser ces derniers.

    Les nageoires pectorales sont petites. La nageoire dorsale, constituée d'une rangée de crêtes, est utile pour plonger. La nageoire caudale, triangulaire et fendue, est très puissante et mesure jusqu’à 4 m.

    La tête est en forme de proue, avec un front — le melon — au profil presque rectangulaire chez le mâle. Énorme, elle représente le tiers de la longueur et peut peser 16 tonnes. Cette taille s'explique par la présence du spermaceti, une poche d'environ 5 tonnes d'acétylpalmitate, un lipide de la classe des cérides, très prisé dans la fabrication de savon. Les lèvres sont blanches. La mâchoire inférieure comporte entre 40-60 dents qui mesurent près de 20 cm et pèsent 1 kg. C’est le seul cétacé dont l'évent, unique, est oblique (vers l'avant gauche).

    Avec une masse pouvant atteindre neuf kilogrammes, le cerveau du cachalot détient le record du monde animal. Son intelligence et ses capacités cérébrales sont très mal connues, car il est très difficile de l'étudier vivant. Les recherches actuelles laissent penser qu'il passe beaucoup de temps dans un demi-sommeil ponctué de rêves, se laissant dériver de longues heures. Il semble qu'ils dorment à la verticale, la tête en bas.

    Distribution [modifier]

    Le cachalot vit dans tous les océans et presque toutes les mers, dont la Méditerranée. Il fréquente surtout les régions abritant le calmar géant. Bien qu'il préfère les eaux équatoriales ou tropicales, le mâle adulte remonte jusqu'aux mers polaires. Dans les années 80, les trois quarts des cachalots se trouvaient dans l'hémisphère sud.

    La chasse au cachalot a été interdite en 1982 et a continué sous sa forme traditionnelle aux Açores jusqu'en 1984[6].

    Éthologie [modifier]

    Régime alimentaire [modifier]

    Le cachalot se nourrit principalement de céphalopodes (calmars, pieuvres), mais aussi de poissons et, parfois, de pinnipèdes (phoques). Grand prédateur, il peut s'attaquer à des requins de trois mètres. Sa proie favorite est le calmar géant, avec lequel il livre des combats titanesques.

    Bien qu'on ait retrouvé dans l'estomac de certains cachalots des restes de calmars de plusieurs dizaines de mètres, il s’alimente généralement de grandes quantités de pieuvres d’un mètre.

    Un champion de l'apnée [modifier]

    Après une dizaine de minutes durant lesquelles il respire en surface, le cachalot bascule, faisant émerger sa nageoire caudale, puis plonge durant 30 à 110 minutes. Il chasse généralement entre 300 m et 1000 m mais peut atteindre la profondeur abyssale de 2035 m[7], où il capture les pieuvres et les calmars géants.

    Vie sociale [modifier]

    Les femelles sont grégaires et vivent en groupes de 10 à 50 individus, avec leurs petits et les jeunes mâles, sous l'autorité d'un mâle adulte. À la saison des amours, les mâles combattent violemment.

    Reproduction [modifier]

    Tous les trois à cinq ans, après une gestation d'une quinzaine de mois, la femelle met bas un unique jeune de 4 m et de plus d’une tonne. Les jeunes tètent jusqu'à l'âge de plus d’un an. Le jeune mâle ne quitte sa mère que vers six ans et n'atteint la maturité sexuelle que vers 10 ans. Le mâle devient adulte vers 30 ans et peut alors constituer un groupe et s'accoupler. Sa longévité est d'environ 70 ans.

    Une espèce en danger [modifier]

    Le cachalot a été exagérément chassé pour le spermaceti (blanc de baleine), un liquide huileux particulièrement apprécié qui est concentré dans la tête. En outre, ses intestins contiennent jusqu'à 500 kg d'ambre gris, concrétion très recherchée en parfumerie, où elle est utilisée comme fixateur.

    Traqué dès le XVIIIe siècle, le cachalot a été décimé au début du XIXe siècle. Le célèbre roman Moby Dick relate l'histoire d'une de ces chasses.

    L'espèce allant disparaître, sa chasse a été interdite en 1982 par la Commission baleinière internationale.

    L'impact éventuel de l'industrie basée sur l'observation touristique des cachalots a été étudié à Kaikoura (Nouvelle-Zélande). Il semble effectivement que cette activité modifie le comportement des animaux, mais dans des proportions si faibles que des conséquences biologiques n'en sont sans doute pas à redouter[8].






    le merou

    31/03/2008 18:36



    Le terme de mérou désigne plusieurs espèces de poissons des mers chaudes, de même que plusieurs espèces différentes peuvent recevoir la même appellation vernaculaire. On trouve quelques espèces de mérous en Méditerranée.

    Le mérou brun, Epinephelus marginatus, est probablement le poisson le plus recherché et le plus médiatique de Méditerranée. Il peut vivre jusqu'à 200 mètres de profondeur. Les sites où ce poisson imposant et peu farouche a élu domicile sont particulièrement appréciés des plongeurs et des photographes. La qualité de sa chair en a fait une cible de choix des pêcheurs sous-marins. Il était autrefois très commun, mais le développement de la chasse sous-marine a fait des ravages dans l'espèce.

    Outre Epinephelus marginatus, huit autres espèces de mérou ont été recensées en Méditerranée : Epinephelus aeneus, Epinephelus caninus, Epinephelus coioides, Epinephelus costae, Epinephelus haifensis, Epinephelus malabaricus, Mycteroperca rubra et Polyprion americanus.

    Au Québec, le nom officiel est badèche gueule jaune.

    • Origine du nom : de l'espagnol mero
    • Nom scientifique (exemple) : Epinephelus Marginatus (pour le mérou brun). Classe Ostéichthyens, ordre Perciformes, famille Serranidés .
    • Description : ovale, massif, à petites écailles, pouvant atteindre 200 cm pour 100 kg.
    • Habitat : entre 20 et 200 mètres de profondeur, près du fond, dans les zones rocheuses accidentées.
    • Mode de vie : solitaire, sauf au moment du frai.
    • Alimentation : seiches, poulpes, calmars.
    • Reproduction : possède une glande hermaphrodite capable de produire des gamètes femelles, puis mâles. Comme la Girelle, le mérou peut changer de sexe, une fois au cours de sa vie lorsqu'il n'y a plus de mâle dominant: entre 5 et 12 ans le mérou est femelle, puis, jusqu'à la fin de sa vie (40 ans), il devient mâle. On parle d'un mode de reproduction Protérogynique.

    Sommaire

    [masquer]

    Espèces de mérou classées par nom scientifique [modifier]

    Mérou géant, ou mérou lancéolé (Epinephelus lanceolatus), photographié au Georgia Aquarium à Atlanta, Georgie (États-Unis)
    Mérou géant, ou mérou lancéolé (Epinephelus lanceolatus), photographié au Georgia Aquarium à Atlanta, Georgie (États-Unis)

    Espèces de mérou classées par nom vernaculaire [modifier]

    Mérou camouflage (Epinephelus polyphekadion)
    Mérou camouflage (Epinephelus polyphekadion)

    les dauphin

    31/03/2008 18:33



    Dauphin

    Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

     
    Pour les articles homonymes, voir Dauphin (homonymie).
    Nom vernaculaire ou
    nom normalisé ambigu :

    le terme « Dauphin  » désigne, en français,
    plusieurs taxons distincts.
    Dauphin
    Un grand dauphin (tursiops truncatus)
    Un grand dauphin
    (tursiops truncatus)
    Taxons concernés

    Plusieurs espèces parmi les :

    Et parmi des familles disputées

    Les dauphins [do.'fɛ̃ ] sont des mammifères marins et fluviaux appartenant à l'ordre des cétacés. Le terme dauphin dérive probablement du grec ancien δελφίς / delphís,[1] « esprit de la mer », peut-être lui même issu de δελφὐς / delphús, « utérus ».

    Le dauphin désigne en français les cétacés à dents (odontocètes) de moins de cinq mètres généralement dotés d'un rostre long :

    1. L'espèce la plus commune et familière de dauphins, que l'on trouve en majorité dans les delphinariums, est le grand dauphin (Tursiops truncatus).
    2. De nombreuses espèces de la famille des Delphinidés qui inclut aussi les orques.
    3. Les Delphinoïdes et les dauphins d'eau douce vivant dans les fleuves d'Asie ou d'Amérique du Sud dont la sous la famille des platanistoïdes.

    D'autres animaux marins sont parfois appelés incorrectement « dauphins » comme des cétacés au rostre court ou à peine existant tels que le narval et le béluga, deux animaux plus grands que les dauphins classiques, ainsi que les marsouins qui sont eux beaucoup plus petits.

    On prête souvent au dauphin un caractère social, mais certaines espèces sont solitaires. Ces animaux sont populaires car certaines de ces espèces se laissent approcher par l'homme et se montrent affectueuses. Certains dauphins sont connus pour avoir sauvé des hommes.

    Sommaire

    [masquer]

    Le dauphin dans la culture populaire [modifier]

    • Déjà dans l'Antiquité les peuples marins leurs prêtaient de multiples exploits comme de guider les bateaux égarés dans la tempête ou de sauver les naufragés... Ils sont d'ailleurs très souvent cités dans la littérature grecque et étaient l'emblème de la ville de Corinthe (Grèce).
    • Flipper, héros d'une série télévisée de 1964, rôle tenu en fait par plusieurs dauphins.
    • Oum le dauphin blanc, animation télévisée française en 13 épisodes, diffusée pour la première fois en 1971.
    • Joséphine dans le film de Luc Besson, le Grand Bleu.
    • Ecco the Dolphin, vedette dans des jeux développés par Sega sortis sur Megadrive et la Dreamcast.
    • Fungie, dauphin mascotte de la ville de Dingle en Irlande.
    • Le dauphin a été évoqué de manière saugrenue dans une interview de Patrick Bruel où il raconte comment sa femme et lui ont appris qu'ils allaient devenir parents. « Ce sont les dauphins qui nous l'ont appris. Les dauphins n'approchent pas des femmes enceintes, et quand elle a vu que les dauphins tournaient autour d'elle sans l'approcher, elle s'est demandée ce qu'il se passait. Moi, je le savais, je lui ai dit que c'était un bon signe! »[citation nécessaire]
    • Flocon de neige dans le film Ace Ventura, détective pour chiens et chats.
    • Stefania dans la série documentaire L'odyssée bleue.
    • Les dauphins dans le livre Un animal doué de raison.
    • Les néo-dauphins dans le roman Marée stellaire.
    • Momo le dauphin, mascotte des sixièmes Jeux des îles de l'océan Indien organisés à Maurice en 2003.
    • Les dauphins communiquent parfois avec les hommes, dans le livre de Eric Demay, "L'homme qui parlait aux dauphins".
    • Dolphy, dauphin femelle fréquentait le port de Collioure entre 1992 et 1995.





    tortue

    31/03/2008 18:28



    Menu

     

    Ce site est créé dans le but de présenter une partie des tortues que l'on retrouve sur notre planète. Cet animal très sauvage n'est malheureusement pas assez connu du grand public.

    C'est à partir des informations contenues dans les fiches des espèces que vous découvrirez les tortues et le mode de vie de chacune d'elles.Vous participerez donc à leur sauvegarde par la même occasion.

    L'équipe de www.cheloniophilie.com, vous souhaite une agréable visite sur le site des passionnés.
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    l otarie

    31/03/2008 18:20



    Otarie à fourrure
    du Nord
    Otarie à fourrure du Nord, mâle
    Otarie à fourrure du Nord, mâle
    Classification classique
    Règne Animalia
    Embranchement Chordata
    Sous-embr. Vertebrata
    Classe Mammalia
    Sous-classe Theria
    Infraclasse Eutheria
    Ordre Carnivora
    Sous-ordre Caniformia
    Famille Otariidae
    Genre Callorhinus
    Genre
    Callorhinus
    Gray, 1859
    Nom binominal
    Callorhinus ursinus
    Linnaeus, 1758
    Répartition géographique

         /    colonie de reproduction
         /    individus isolés

    Statut de conservation IUCN :


    VU A1b : Vulnérable

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    L’otarie à fourrure du Nord (Callorhinus ursinus), ou ours de mer, est la seule espèce du genre Callorhinus, de la famille des Otariidae (les otaries). Callorhinus est emprunté au grec et signifie « belle peau ».

    Noms vernaculaires alternatifs : otarie à fourrure septentrionale, otarie d’Alaska, otarie de Pribilof.

    Sommaire

    [masquer]

    Description [modifier]

    L'otarie à fourrure du Nord se distingue par sa petite tête à museau court et ses nageoires postérieures, les plus grandes de toutes les espèces d'otaries.

    Les mâles sont beaucoup plus grands (2 m, 270 kg) que les femelles (1,5 m, 60 kg) ; les mâles se caractérisent aussi par leur pelage foncé (noir ou brun foncé) et leurs longues moustaches, alors que le pelage des femelles est clair (gris ou marron clair).

    Les mâles vivent 20 ans, et les femelles 25.

    Les otaries se nourrissent de poissons (harengs, en particulier) et de calmars, qu'ils chassent en solitaire dans les eaux froides. La consommation quotidienne d'une otarie L’otarie à fourrure du Nord (Callorhinus ursinus), ou ours de mer, est la seule espèce du genre Callorhinus, de la famille des Otariidae (les otaries). Callorhinus est emprunté au grec et signifie « belle peau ».

    Noms vernaculaires alternatifs : otarie à fourrure septentrionale, otarie d’Alaska, otarie de Pribilof.

    Sommaire

    [masquer]

    Description [modifier]

    L'otarie à fourrure du Nord se distingue par sa petite tête à museau court et ses nageoires postérieures, les plus grandes de toutes les espèces d'otaries.

    Les mâles sont beaucoup plus grands (2 m, 270 kg) que les femelles (1,5 m, 60 kg) ; les mâles se caractérisent aussi par leur pelage foncé (noir ou brun foncé) et leurs longues moustaches, alors que le pelage des femelles est clair (gris ou marron clair).

    Les mâles vivent 20 ans, et les femelles 25.

    Les otaries se nourrissent de poissons (harengs, en particulier) et de calmars, qu'ils chassent en solitaire dans les eaux froides. La consommation quotidienne d'une otarie représente environ 10 % du poids de l'animal.

    Chaque mois de mai, les otaries se rassemblent en masse dans quelques rookeries[1]. Les femelles se reproduisent à l'âge de 3 ans, mais les mâles, sexuellement matures à l'âge de 4 ou 5 ans, ne s'accouplent pas avant 9 ans.

    Les mâles, polygames, doivent en effet établir leur territoire et le défendre des dizaines de fois contre d'autres prétendants, ce qui donne lieu à des duels souvent sanglants, parfois mortels. Ainsi, le « propriétaire » du territoire ne peut s'absenter pour se nourrir pendant plusieurs mois, et vit sur ses réserves : lorsqu'il retourne à l'eau, il a parfois perdu près d'un tiers de son poids.

    Les célibataires se regroupent sur des « terrains de jeux », où ils s'entraînent à de tels combats.

    Otarie à fourrure du Nord : mâle avec son harem et les nouveau-nés
    Otarie à fourrure du Nord : mâle avec son harem et les nouveau-nés

    Les femelles arrivent pleines, et choisissent un emplacement parmi les territoires délimités par les mâles où elles constituent des harems de dix à vingt femelles pour la plupart. La naissance d'un unique petit intervient peu de temps après l'arrivée d'une femelle. Cette dernière est fécondée cinq à six jours après.

    Les femelles possèdent un double utérus, et c'est ce qui permet une durée de gestation de presque un an, bien supérieure à celle des autres mammifères (environ 9 mois).

    Les jeunes sont sevrés en octobre. À la fin de novembre, ils migrent vers le sud avec leurs congénères.

    Aire géographique [modifier]

    L'otarie à fourrure du Nord se rencontre au nord de l'océan Pacifique - la limite méridionale correspond approximativement à une ligne allant de l'extrémité sud du Japon à l'extrémité sud de la péninsule de Basse-Californie -, dans la mer d'Okhotsk et dans la mer de Béring.

    Sa population est estimée à environ 1 800 000 individus, dont plus qu'une moitié se reproduisent aux îles Pribilof en mer de Béring. Les autres zones de reproduction importantes sont les îles du Commandeur (mer de Béring), l'île Robbe (mer d'Okhotsk), les îles Kouriles, et l'île San Miguel (Californie).

    Chasse [modifier]

    L'otarie à fourrure a constitué la nourriture principale des indigènes (Inuit) des côtes de Sibérie et d'Alaska pendant des milliers d'années. Elle fournit également une fourrure de qualité.

    Gerasim Pribilof explora en 1786 l'archipel qui porte maintenant son nom et découvrit les immenses rookeries de l'otarie à fourrure. Dès 1796, le commissaire russe déplaça des indigènes aléoutes pour tuer et dépouiller les animaux en grand nombre. Ceux-ci étaient rassemblés dans des champs d'abattage, puis tués à coups de bâton (dans le meilleur des cas, l'animal succombe rapidement à un seul coup bien ajusté sur le crâne).

    En 1820, un nouveau commissaire russe édicta les premières mesures de protection : ne plus tuer les femelles ; épargner une certaine proportion de jeunes mâles.

    En 1867, les îles Pribilof devinrent possession américaine avec l'Alaska pour 7 200 000 dollars ; les agents du gouvernement américain estimèrent alors le troupeau d'otaries à 2 500 000 d'animaux. La cupidité l'emportant, les règles de protection de l'espèce furent abandonnées ; de plus, des pirates entreprenaient des raids sur le rivage des îles. Les otaries étaient aussi intensivement chassées en mer au harpon.

    En 1892, quand l'effectif des otaries devint inférieur à un million d'individu, les autorités commencèrent à se préoccuper de la baisse des revenus de l'abattage. Un accord fut signé à Paris en 1893 pour interdire la chasse en mer dans un rayon de 60 milles marins autour des Pribilof, ainsi que dans la mer de Béring du 1er mai du 31 juillet.

    Bien que les États-Unis armèrent des cannonières pour faire respecter l'accord, la tuerie continua, et en 1910, il ne restait plus que 160 000 otaries aux îles Pribilof. Des écrivains, dont Jack London et Rudyard Kipling, réussirent à émouvoir l'opinion publique, et en juillet 1911, fut signé à Washington le Traité pour la préservation des otaries à fourrure, entre la Grande-Bretagne, le Canada, les États-Unis, la Russie et le Japon ; cet accord interdisait totalement la chasse en mer en échange d'un pourcentage sur l'abattage des otaries.

    Cette exploitation commerciale a cessé depuis 1984 ; actuellement, environ 1500 individus sont prélevés annuellement par la population indigène pour leur nourriture. Alors que la pêche pélagique détruirait à elle seule plusieurs milliers d'otaries par an.

    Liens externes [modifier]

    Note [modifier]






    le moustique tigre

    27/03/2008 07:25



    NICE Moustique tigre et Chikungunya

    ../FR/images/edito/moustique-tigre.jpg
    (Nice Rendez-Vous) | SOCIETE | MOUSTIQUE CHIKUNGUNYA | Voilà un exemple de message que nous recevons ces temps-ci sur notre site : « en tuant des moustiques avec les mains, j'ai eu la surprise d'avoir écrasé à plusieurs reprises ( 4 ou 5 fois ) un moustique qui n'était pas comme les autres et qui correspond tout à fait à l'image que je viens d'apercevoir sur votre site : le moustique chikungunya qui correspond totalement à la description de votre article ».

    C’est bien la preuve qu’à la faveur des pluies, les moustiques se sont mis à pulluler dans certains quartiers de Nice mais aussi que tous les moustiques ne sont pas des Aedes albopictus (le «Tigré» de son nom commun, car il est joliment zébré noir et blanc) et que la confusion existe dans le public entre le moustique tigre et le virus du chikungunya.

    Heureusement, si le moustique tigre semble bien parti pour coloniser la Côte d’Azur, le virus du chikungunya est absent de notre région.

    L'insecte ne naît pas avec le virus, il le contracte en piquant un humain malade.
    Le Chikungunya est une maladie virale qui provoque des diarrhées, des vomissements, des fortes fièvres, de violents maux de tête, des éruptions cutanées et des douleurs musculaires et articulaires particulièrement invalidantes et pénibles. On ne connaît pas de cas localement.

    Donc pour le moment pas de danger.

    Il n’empêche que la prudence voudrait que chacun s’attache à faire disparaître les lieux propices à l’installation de gîtes larvaires ou à les traiter avec un larvicide biologique.
    Le «Tigré» est «urbain» et diurne, il pique en début ou en fin de journée, ce qui le distingue de ses congénères plutôt nocturnes, et sa piqûre est douloureuse. Assez casanier, il reste dans les parages de l’endroit où il s’est installé. Coupelle de pot de fleurs, seaux, conteneur, jouets d’enfant, tout récipient resté dehors dans lequel stagne un peu d’eau est propice à son installation et peut devenir un gîte larvaire.
    Si communautairement nous réussissions à veiller à la disparition de ces lieux propices à la reproduction du moustique tigre nous pourrions limiter son expansion et éviter une grande opération de démoustication qui n’a pas que des avantages selon certains farouches opposants.





    lapin

    16/03/2008 20:42

    lapin




    Commentaire de anne-so62 (24/03/2008 20:02) :

    slt merci de m'avoir mis des com !! je trouve que ma lapine et trop belle !!


    Commentaire de camille (28/03/2008 14:05) :

    trop belle c la tienne





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